Madame de la Sablière, si recommandable par son esprit et par ses vertus, y a répandu des maximes chrétiennes, qui respirent la plus saine morale de l’évangile, et dont la lecture ne sauroit être trop conseillée. […] Elle veut que nous conformions toujours nos mœurs et notre conduite aux maximes et aux préceptes de notre religion ; religion qui a été révélée aux hommes ; que le fils de Dieu même est venu établir sur la terre ; qu’il a prêchée autant par ses exemples que par ses discours ; dont il a prouvé la sainteté par la pureté de sa vie, confirmé la vérité par ses miracles et par sa mort ; qu’enfin ses disciples ont répandue eux-mêmes miraculeusement chez toutes les nations de l’univers.