Déterminé comme César à n’être le second en rien, il rêva de bonne heure le rôle de conspirateur grandiose ; et ce goût d’ambitieuses aventures éclate déjà dans son récit de la conjuration de Fiesque. […] Son récit intéresse comme une comédie. […] Ces petites circonstances ajoutent à la vraisemblance du récit.