L’honneur ne dépend pas d’un injuste caprice, Et quand le cœur est pur, il suffit. […] Messieurs, je vous présente un sage Qui suit la raison pure, et méprise l’usage ; Il n’épargne aucun soin pour servir un ami, En lui serrant la main. […] L’an passé, c’était encor plus sûr ; Nous jouirions déjà du calme le plus pur.