Il veille autour de lui, tel qu’un puissant génie : Tel qu’on feignait jadis, aux champs de la Phrygie, De la terre et des cieux les moteurs éternels Mêlés dans les combats sous l’habit des mortels ; Ou tel que du vrai Dieu les ministres terribles, Ces puissances des cieux, ces êtres impassibles, Environnés des vents, des foudres, des éclairs, D’un front inaltérable ébranlent l’univers1. […] Le maître de ces lieux, le puissant Orosmane, Sait connaître, seigneur, et chérir la vertu. […] Il y a de plus, dans ce tableau d’une nature paisible et heureuse, opposé aux scènes de douleur et de guerre qui suivent, un contraste d’un effet puissant sur l’imagination.