Il s’agit de prouver à ses concitoyens qu’ils ont mérité tous les maux qu’ils éprouvent ; et voici le tour éloquent et poétique dont il se sert pour faire l’énumération de leurs crimes. […] On serait tenté de croire que l’essor lyrique ne peut plus s’élever au-dessus de ces dernières images : le poète sacré va prouver le contraire, et de nouveaux personnages vont figurer encore dans son poème.