C’est une ancienne religieuse professe : on appelait de ce dernier nom celle qui avait prononcé des vœux définitifs, après le temps de son noviciat expiré. […] A l’époque de Gresset, on prononçait encore claître, que l’on écrivait cloistre, comme on disait connaître, tout en écrivait connoistre : ce qui fait que ces deux rimes étaient également bonnes pour les yeux et pour l’oreille.