Le lecteur doit toujours rester maître de sa diction et ne jamais laisser dégénérer l’excitation oratoire ou poétique en une émotion réelle et trop profonde. […] L’entrée du palais ne montre rien de funeste, et tout rit par le dehors ; mais le lieu du supplice, c’est l’intérieur de l’homme, c’est le plus profond de l’âme. […] — Garde ton âme toujours pure Et profonde comme ces eaux. […] Les vallées sont étroites et peu profondes. […] D’un caprice dépend ta sagesse profonde !