Quand elles ont entièrement disparu, on se console dans la contemplation des productions antérieures de l’impuissance de produire, comme le vieillard jouit par le souvenir des joies que l’âge lui refuse. […] Pour peu que je réussisse à vous la faire aimer par la contemplation des belles choses qu’elle a produites, je croirai ma tâche heureusement terminée.