La première cependant présente parfois, comme je l’ai dit plus haut, l’apparence de la seconde. […] Sensuel, folâtre, poétique en Italie, à la fois bourgeois et fantastique en Allemagne, observateur, positif, je dirai presque instructif en Espagne, il présente eu Angleterre quelque chose de plus spécial, de plus national encore et qui ne peut s’exprimer que par le mot anglais lui-même ; car ce qu’on appelle humour n’est ni le facetum, ni le salsum, ni le dicax, ni aucune des subdivisions de la plaisanterie analysées par Quintilien.