. ; et la suppression du t au pluriel des participes présents et des substantifs ou adjectifs terminés en ant, ent, ment, etc. […] Les théoriciens politiques sèment pour l’avenir : les hommes d’État gouvernent le présent par l’action, la parole et les écrits. […] C’est que le présent, d’ordinaire, nous blesse. […] Nous ne pensons presque point au présent ; et, si nous y pensons, ce n’est que pour en prendre la lumière pour disposer de l’avenir. Le présent n’est jamais notre but : le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre objet.