N’est-il pas vrai que, quand il ramasse toutes les circonstances de ce désespoir, qu’il vous montre Didon furieuse, avec un visage où la mort est déjà peinte, qu’il la fait parler à la vue de ce portrait et de cette épée, votre imagination vous transporte à Carthage ? […] Outre les portraits que La Bruyère, Saint-Simon, d’Aguesseau et Vauvenargues nous ont laissés de Fénelon (celui de Saint-Simon doit être modifié à quelques égards), on devra lire sur lui les discours de La Harpe et de l’abbé Maury, une notice de M.