Guerrier, poête, négociateur, théologien, historien, romancier et sectaire, ce gentilhomme a parmi ses contemporains la taille d’un héros auquel manqua seulement ce bon sens politique qui sauva, par le génie d’Henri IV, la religion et la royauté, c’est-à-dire la France d’alors. […] On dirait une lave pleine de scories. — Aussi a-t-il effarouché le goût du xviie siècle autant par ses témérités littéraires que par ses incartades politiques. […] Si le politique se trompa, l’homme a donc droit à nos respects.