Dans le poëte mourant, M. de Lamartine a dit de lui-même. […] On peut comparer à ces beaux vers ce fragment lyrique emprunté à un poëte allemand : « Je suis un pauvre, pauvre homme, et je marche tout seul. […] Le poëte veut dire que l’empire était au plus offrant. […] Je lis ailleurs cette belle page du grand poëte sur le curé de campagne : « Il a dans ses attributions les fautes, les repentirs, les misères, les nécessités, les indigences de l’humanité ; il doit avoir le cœur riche et débordant de tolérance, de miséricorde, de mansuétude, de compassion, de charité et de pardons ! […] Elle ne sonna pas avec la voix de fête que lui demandait le poëte ; ses échos firent couler bien des larmes !