(On trouve quelquefois ē long chez les vieux poètes.) […] Nous faisons remarquer ici que, dans ces deux cas, les poètes du siècle d’Auguste faisaient o final long, quand la pénultième était longue, comme dans vīrgō, sērmō, canto, ībō, etc. […] Les poètes latins ont généralement élidé cette finale, ou l’ont placée à la fin du vers.