Son calme nous fait voir un cœur plein de douceur ; Sa colère, d’un Dieu le courroux formidable ; Et son affreuse profondeur. […] Immense comme lui, toujours pleine et féconde, Elle donne toujours sans jamais s’épuiser, Et sans jamais se diviser, Elle répand partout le trésor de son onde. […] Elle s’écrie : J’ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l’univers est plein de mes aïeux.