L’églogue soit en récit, soit en dialogue, soit en récit et en dialogue en même temps, doit être irréprochable dans son plan, c’est-à-dire ne rien laisser à désirer dans son commencement, dans son milieu, ni dans sa fin. […] Enfin l’idylle, comme l’églogue, constitue un poème ; or, tout poème demande un plan ; il faut ici une image, une pensée, un sentiment ou une passion qui se développe dans de justes proportions.