Et de là vient l’éloignement où nous sommes de consentir aux vérités de la religion chrétienne tout opposée à nos plaisirs. […] Le plaisir de la critique nous ôte celui d’être vivement touché de très-belles choses. […] Il ne compta donc pour rien le plaisir et l’admiration de l’auditeur, et il ne commença à espérer que quand il vit couler des larmes. […] ô plaisirs ! […] N’est-il pas vrai au contraire qu’il n’y a véritablement de plaisir que pour les gens de goût ?