Il faut que je vienne goûter avec vous les plaisirs que donnent les belles-lettres, la tranquillité, et l’amitié6. […] On n’a de maître que son plaisir et son goût. […] Tout ce que vous me dites de M. le duc de Bourgogne fait grand plaisir à un cœur français. […] L’agitation, la fièvre du travail et du plaisir lui devint un besoin, une seconde nature. […] S’il en montrait moins, il me laisserait respirer et me ferait plus de plaisir : il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude ; tant d’éclairs m’éblouissent ; je cherche une lumière douce qui soulage mes faibles yeux. » (Lettre à l’Académie, V.)