Le poète, en effet, voit ce qu’il y a d’intime et de mystérieux en toutes choses ; et au lieu de se renfermer dans le monde matériel et de s’arrêter aux intérêts vulgaires, il se plaît à animer la nature physique, à prêter des formes sensibles au monde moral, et à s’élancer dans un monde idéal. […] Le deuil de la nature Convient à ma douleur et plaît à mes regarde. […] Quelle que soit l’élévation de notre raison et la puissance de notre intelligence, le merveilleux nous plaît.