Les huit premiers sont partagés en quatrains de même mesure, et qui roulent sur deux rimes, qu’il faut y placer dans le même ordre. […] Ces vers sont une traduction libre de l’épitaphe latine qu’un poète italien fit à l’Arétin, et qu’on dit avoir été placée sur son tombeau, dans l’église de Saint-Marc, à Venise.