Tous les autres êtres, contents de leur destinée, paraissent heureux à leur manière dans la situation où l’Auteur de la nature les a placés. […] Attenant à la porte, placez un bas d’armoire, et, tout près du vieillard caduc, une petite table sur laquelle on vient de servir un potage. […] J’oubliais qu’au milieu de ce tumulte un chien, placé sur le devant, l’augmentait encore par ses aboiements. […] La cadette, placée entre la fenêtre et le lit, ne saurait se persuader qu’elle n’a plus de père : elle est penchée vers lui ; elle semble chercher ses derniers regards ; elle soulève un de ses bras, et sa bouche entr’ouverte crie : « Mon père ! […] A ce livre placé sur une table, devant cette fille aînée, je devine qu’elle a été chargée, la pauvre malheureuse !