C’est dans les Bergeries, le plus renommé de ses ouvrages au xvie siècle, le pied sur un perron, le coude sur un balustre, qu’il regarde, respire et chante les abeilles et les roses. […] « Tel est en cet estat le tableau de l’eglise ; Elle a les fers aux pieds, sur la gehenne467 assise, A sa gorge la corde et le fer inhumain, Un pseaume dans la bouche, et un luth en la main. […] Ne partiront jamais du throsne où tu te sieds Et la Mort et l’Enfer qui dorment à tes pieds ? […] Ils se rassemblent au pied du trône de Dieu Rayonnans de saincte majesté. […] — On recognoist les dieux, ainsi que dit Homere, Au mouvement des pieds, qu’ils tournent en arriere : Mon procés prend plaisir à tousjours reculer.