Le peuple reconnut en lui les souvenirs et les instincts de son patriotisme, comme aussi les préjugés et les faiblesses de ses passions parfois injustes ou aveugles. […] « Peuple, à ton tour, que ces chants te réveillent ; Il en est temps ! […] Les souvenirs du peuple On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. […] Bien, dit-on, qu’il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. […] — ô temps où des peuples sans nombre Attendaient prosternés sous un nuage sombre Que le ciel eût dit oui !