À une fenêtre du Vatican paraît le souverain pontife : il prie et tout le peuple prie avec lui. […] C’était un tyran féroce, qui exerça sur les peuples vaincus et sur ses propres sujets des cruautés inouïes. […] Il épargna les deux amis, et le peuple, poussant mille cris de joie, les reconduisit chez eux en triomphe. […] On appelait tribuns du peuple, à Rome, des magistrats annuels chargés de soutenir les intérêts du peuple. […] Le peuple non seulement lui refusa le consulat, mais le bannit.