Vers le soir, le vent du nord reprit son cours ; l’air perdit sa chaleur cuisante, les sables tombèrent du ciel et laissèrent voir les étoiles : inutiles flambeaux qui me montrèrent seulement l’immensité du désert. » 1. […] À la molle clarté de la voûte sereine Nous chanterons ensemble assis sous le jasmin, Jusqu’à l’heure où la luue, en glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.