Il est le premier qui ait su développer un talent original dans une œuvre de science laborieuse, sans perdre le charme du naturel, et sans l’étouffer sous l’artifice, comme fit Ronsard. […] Aussi partageons-nous le sentiment de Montaigne disant avec enthousiasme : « Je donne la palme à Jacques Amyot… Nous autres ignorants étions perdus, si ce livre ne nous avait relevés du bourbier. » Avec Fénelon, nous regrettons qu’on ait trop négligé son vocabulaire.