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95. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Provinces, qu’ils avaient déjà ravagées dans le désir et dans la pensée, vous avez encore recueilli vos moissons. […] Le sublime, soit dans les pensées, soit dans les sentiments, est un trait merveilleux, extraordinaire, qui ravit, transporte, élève l’âme, au dessus d’elle-même, et qui lui fait sentir en même temps cette élévation. […] Le sublime peut naître de trois différentes sources ; des pensées, des sentiments, des images. […] Du Sublime des Pensées. Ce que je viens de dire, peut faire assez comprendre en quoi consiste le sublime d’une pensée.

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