« L’homme digne d’être écouté, dit Fénelon, est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu. » Le sujet doit donc être moral, ou du moins n’avoir rien de contraire à la moralité. […] Et, d’autre part, j’ai lu tel article de journal, où l’auteur, resserré dans les mesquines proportions des trois colonnes quotidiennes, étranglait une pensée qui eût mérité les développements de l’in-8°.