• De la vérité des mœurs chevaleresques peintes dans le Cid, de Corneille. (11 août 1882). […] • De la vérité des mœurs antiques peintes dans Horace, de Corneille. (7 août 1882). […] Comment te peindre mon émotion, mes larmes, ma compassion pour Antigone, ma haine pour Créon ? […] Non, Tacite ne calomnie pas l’humanité ; il peint sans ménagement, mais sans colère, une société corrompue et des âmes dégradées. […] C’est qu’il s’attache à peindre fidèlement les caractères et les mœurs, aussi bien des bêtes que des hommes, se montrant également bon naturaliste et profond philosophe.