Oui, beaucoup : elles sont mêlées d’aurore et de feuille morte : cela fait une étoffe admirable. » Ailleurs, voulant peindre un de ces jours d’hiver où le soleil brille, elle représente les arbres « tout parés de perles et de cristaux ». […] Madame de Sévigné, qui pourtant n’a pas vu cette scène, la peint au vif par la clairvoyance d’une imagination divinatrice.