Les guerriers français étendirent le voile de leur gloire sur le hideux spectacle de la Terreur ; ils enveloppèrent les plaies de la patrie dans les plis de leurs drapeaux triomphants, et jetée dans un des bassins de la balance, leur vaillante épée servit de contre-poids à la hache révolutionnaire. […] Les adieux de Marie Stuart à la France renferment encore plus de délicatesse : Adieu, plaisant pays de France, O ma patrie, La plus chérie, Qui as nourri ma tendre enfance ! […] Dans l’Énéide, un jeune guerrier se rappelle en mourant sa douce patrie, Argos, et jette vers elle un tendre regard : Et dulces moriens reminiscitur Argos.