C’est ma tendre affection pour vous, mon amour pour la patrie qui me sollicitent à vous, demander quelques instants d’attention. […] Pour quoi tournez-vous contre vous-mêmes ces armes qui pourraient exterminer vos ennemis et venger notre patrie ? […] Écoute, tu connais avec quelle furie Jadis Catilina menaça sa patrie. […] « Ô patrie, ô cité bâtie par les dieux ! […] Ainsi parlent dans Cicéron la patrie et dans Platon les lois.