Il faut aimer la religion comme une espèce de patrie et de nourrice ; c’est elle qui a allaité nos vertus, et avec elles nous donne le bonheur. » 2. […] « Voici le tableau de votre conduite : Vous avez insulté une personne qui n’a ici ni frère, ni mari, que je protège seule, et qui, dans sa noble patrie, n’aurait pas rencontré un seul homme capable de l’outrager sans le moindre danger, ce qui réunit la faiblesse d’âme à la dureté du cœur. […] Saint-Marc Girardin : « L’honneur dans don Diègue, comme l’amour de la patrie dans le vieil Horace, fait taire l’amour paternel sans l’étouffer. […] Venez donc, offrez-lui vos vœux reconnaissants : Offrez-lui vos tributs : orateurs, quels accents Plus brûlants que les siens, de plus d’idolâtrie Ont embrâsé les cœurs au nom de la patrie ?