Peut-être eût-il fallu s’en tenir là, et passer immédiatement au morceau sublime qui termine ce beau discours. […] De ces motifs généraux, les lois personnifiées passent à des considérations particulières à Socrate. […] Et si on lui demande, comment, déjà vieux, et n’ayant qu’un instant à passer sur la terre, il a pu se résoudre à traîner les restes d’une vieillesse honteuse, après avoir enfreint les lois de son pays, que répondra-t-il ?