Un critique ancien, Magaclide, cité par le scholiaste de Venise sur ce passage de l’Iliade, en blâme aussi l’invraisemblance. — Le Tasse relève ici une lacune importante dans les observations d’Aristote, et il essaye de la justifier. […] Passage très-obscur le texte des mss. est évidemment corrompu aux mots : διò δή, άλλου δέ (on lit aussi ἄλλ̕ οῦδέ et ἄλλλο δέ), ἢ προσθεῑναι.