La traduction de ce passage par de Norville (1671) montre combien alors les esprits étaient prévenus sur ce sujet et disposés à interpréter Aristote dans le sens de leurs théories : « La tragédie commence et termine son action en un jour ou en une nuit autant que faire se peut : et si le fort de l’action se passe dans l’un de ces temps elle anticipera bien peu sur l’autre. » Après avoir observé que les trois grands tragiques de la Grèce se conforment à l’unité de temps, d’Aubignac ajoute : « ….