On peut prendre pour exemple les paroles que la déesse Calypso adresse au fils d’Ulysse pour retenir ce jeune prince dans son île. […] Cependant le roi revenait à lui ; sa première parole fut une expression de joie d’être appelé à Dieu le vendredi saint. Il répondait aux sanglots de la reine par des paroles de résignation et de piété. […] je m’inscris en faux contre vos paroles. […] Alors Ruy-Blas prenant la parole, s’écrie : « Bon appétit, messieurs !