Un vil amour du gain, infectant les esprits, De mensonges grossiers souilla tous les écrits ; Et partout, enfantant mille ouvrages frivoles, Trafiqua du discours et vendit les paroles. […] Passant toujours de l’une à l’autre extrémité, De l’excessive crainte à l’espérance folle ; Parlant, parlant, parlant, puis perdant la parole.