Les paroles passent, mais les écrits restent. […] — Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. […] Point de raisonnements là-dessus, point de paroles ni de lettres perdues, il faut venir : tout ce que vous m’écrirez, je ne le lirai seulement pas. […] La première, c’est d’être extrêmement circonspect dans vos paroles, et d’éviter la réputation d’être un parleur, qui est la plus, mauvaise réputation qu’un jeune homme puisse avoir dans le pays où vous entrez. […] Pour moi, je ne sais ce que c’est que de manquer à ma parole, et je garde mon sérieux, comptant bien que vous tenez le vôtre : je trouverais fort mauvais qu’il en fût autrement.