On peut comparer Bossuet (Même recueil), et cette page de M. […] L’éloquence de ces pages est une sorte de mépris irrité contre le vice que Fénelon voudrait extirper jusqu’en ses racines. […] Lorsque Fénelon reçut le duc de Bourgogne entre ses mains, il fut effrayé de son naturel bouillant et rebelle : toute cette page est un portrait du jeune prince, dont il devait dompter l’humeur sauvage. […] Fénelon fit lire cette page à son élève ; c’était lui présenter un miroir.