La farce même, il l’élève jusqu’à lui, et ses bouffonneries sont traversées par des éclairs d’intuition morale qui les rapprochent de la haute comédie dont il est le père. […] Ceci me rappelle cette fable allemande de Gellert : « Un père avait deux héritiers : Christophe qui était spirituel, et Georges qui était bête. […] mon père, dit-il, si je reçois tout de vous, que deviendra ensuite mon frère ? […] dit son père, l’interrompant ; je ne suis pas inquiet pour Georges. […] Je ferai mon possible à bien venger mon père.