Mais l’ouvrage n’est point parvenu jusqu’à nous, et tout ce que nous en savons, c’est que Caton y était porté jusqu’aux cieux : Catonem cœlo œquavit. […] Mais aujourd’hui que le salut de tous les citoyens et le sort de la republique dépendent de la conduite que vous tiendrez, vous êtes loin d’avoir achevé le grand édifice qui doit être votre ouvrage ; vous n’en avez pas même jeté les fondements.