Disciple et ami (deux titres alors inséparables) du plus grand philosophe de la Grèce, Platon a fait de la doctrine de Socrate, son maître, l’âme, le fonds et le mérite de ses ouvrages. […] L’éloge de ce roi de l’île de Chypre est pourtant, de tous les ouvrages d’Isocrate, celui qui annonce le plus de mérite.