Aristote n’en a rien dit ; Cicéron et Quintilien y ont consacré peu de place dans leurs ouvrages. […] C’est là ce qui a fait chérir de toute l’Europe et ce qui fera éternellement aimer les ouvrages de Rollin. […] Que serait-ce donc qu’un ouvrage rempli de pensées recherchées et problématiques ? […] C’est cet heureux emploi de mots qui fait la belle poésie et rend un ouvrage immortel. […] ; point remarquable de conformité entre cet ouvrage et ceux que l’on ne conteste pas à Cicéron.