Quoique moins heureux dans son premier ouvrage sur la Grâce, il s’y était déjà annoncé comme un écrivain d’autant de mérite que de piété. […] Que d’ouvrages parfaits, Que de riches présents t’annoncent sa puissance ! […] Rousseau, c’est un des ouvrages les plus estimables de la langue française. […] Châteaubriand, au ch. 7 de l’ouvrage et du livre indiqués, après avoir transcrit ces vers, au lendemain de la révolution française : « Nous avons vu, dit-il, quelques infortunés à qui ce dernier trait faisait venir les larmes aux yeux. » 2.