L’accent lyrique est soutenu dans l’ode de Malfilâtre sur le système planétaire, et la postérité n’a pas oublié les Adieux à la vie, de Gilbert. […] Dans les talents secondaires de cette époque, n’en est-il pas que l’histoire littéraire a le devoir de ne pas oublier ? […] Je n’y manquai pas : je n’oubliai ni accent, ni point, ni virgule. […] N’oubliez point vos amis, et ne passez pas des mois entiers sans leur écrire un mot. […] J’oubliais qu’au milieu de ce tumulte un chien, placé sur le devant, l’augmentait encore par ses aboiements.