Les fruits, à la discrétion1des promeneurs, ne seraient ni comptés ni cueillis par mon jardinier, et mon avare magnificence n’étalerait point aux yeux des espaliers superbes auxquels à peine on osât toucher. […] Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque3au fils de Marie !