On ne voit dans celui-ci que des discours fleuris et efféminés, que des périodes faites avec un travail infini pour amuser l’oreille, pendant que Démosthène émeut, échauffe et entraîne les cœurs. […] De là vient qu’un peintre et un poëte ont tant de rapport2 : l’un peint pour les yeux, l’autre pour les oreilles ; l’un et l’autre doivent porter les objets dans l’imagination des hommes.