Chantons l’auteur de la lumière Jusqu’au jour où son ordre a marqué notre fin ; Et qu’en le bénissant notre aurore dernière Se perde en un midi sans soir et sans matin2. […] Quelquefois, à l’autel, Je présente au grand prêtre ou l’encens ou le sel2 ; J’entends chanter de Dieu les grandeurs infinies ; Je vois l’ordre pompeux de ses cérémonies. […] Ceci est un ordre.