Aujourd’hui même que le roman et le théâtre visent, à qui mieux mieux, à l’horrible ; aujourd’hui que le vice a pris des allures fières et hautaines qui déconcertent la vertu, cette manie de mettre le grand dans l’horrible, et le beau dans le mal, n’est pas autre chose qu’une tentative faite par l’homme pour atteindre à cet idéal qu’il cherche toujours, et qu’il place, selon les opinions du temps, tantôt dans le bien, tantôt dans le mal, mais qu’il ne trouve jamais.